Qui sommes-nous ?

SOCOFE fédère les acteurs communaux de la Wallonie.

L’aventure de SOCOFE a débuté en 1990. A l’époque, la mise en place de l’intercommunale SOCOFE, qui regroupait les bassins de Charleroi et de Liège, avait pour objectif de créer un axe wallon autour du développement du secteur public de la production d’électricité. Et puis l’Europe a conduit à une réorientation de notre objet. A la fin des années ’90, nous avons saisi de nouvelles opportunités suite à la vente des entreprises régulées par les sociétés privées du secteur.

En 2000, nous avons pris la décision de passer en société anonyme. Même si notre actionnariat restait majoritairement public, nous voulions adopter les mêmes règles du jeu que les entreprises privées. Quitter un régime d’intercommunale pour celui de société anonyme relevant du droit commun était un défi atypique et audacieux ! La réussite de ce pari a concouru à asseoir la crédibilité de SOCOFE. Encore aujourd’hui, respecter les règles concurrentielles et renforcer notre gouvernance via une Charte de Gouvernement d’entreprise nous pousse à rechercher sans cesse l’excellence.


Les valeurs qui ont guidé la construction de SOCOFE

Priorité à
l’intérêt collectif

Pour SOCOFE, l’intérêt collectif prime sur le rendement. Nos missions sont sans ambiguïté : elles nécessitent de concilier facteurs économiques, sociaux et environnementaux.
Les prises de participation s’inscrivent dès lors dans une vision à long terme, au travers de choix stratégiques et mesurés.

Durabilité
de la croissance

La rentabilité maximale immédiate n’étant pas recherchée à tout prix, SOCOFE peut être active dans des secteurs où le rendement est différé dans le temps, mais où l’enjeu pour les populations est majeur. Ceci explique notre présence dans des secteurs comme celui de l’eau ou des énergies renouvelables.

Transparence et
professionnalisme

L’efficacité au profit de la collectivité et des actionnaires ne laisse pas d’autre voie que celle de l’excellence. En tant qu’acteur économique, SOCOFE est soumise aux règles du marché et guidée par le professionnalisme. Nous adoptons des règles strictes de gouvernance et de transparence dans toutes nos décisions.


Notre actionnariat


Les grandes étapes de notre actionnariat

Les premiers intérêts communaux et intercommunaux fédérés au sein de SOCOFE furent ceux des bassins de Charleroi et de Liège. L’objectif était alors de créer un axe wallon autour du développement du secteur public de la production d’électricité. Au fil du temps, notre capital s’est ouvert à de nouveaux partenaires communaux et intercommunaux, rejoints par la suite par des partenaires institutionnels et financiers. Notre philosophie a toujours été d’avoir une représentativité de toutes les provinces de Wallonie et de dégager entre nos actionnaires des convergences dans le secteur énergétique.

Dates clés

1999-
2000

A sa création, SOCOFE a fédéré des actionnaires du Hainaut et de la Province de Liège pour investir dans le secteur public de l’énergie. Au moment de prendre la forme de société anonyme en 2000, DEXIA, SRIW, AUXIPAR, ETHIAS et P&V avaient déjà rejoint l’actionnariat de SOCOFE.

2006

L’actionnariat de SOCOFE a connu une évolution notable suite à la réforme des intercommunales initiée par la Région wallonne et à la disparition de la SOCOLIE. Il en est résulté une nouvelle répartition des parts entre un nombre plus réduit d’actionnaires.

2009

Suite aux opérations d’échanges de parts entre actionnaires liées à la prise de contrôle de BeTV par TECTEO/VOO, SOCOFE a acquis certaines de ses propres actions, détenant depuis lors une partie de son propre capital (2,13%). Par la même occasion, SRIW ENVIRONNEMENT, ETHIAS et DEXIA ont accru légèrement leur participation. Cette situation a été mise à profit pour consolider la représentativité de SOCOFE en Wallonie. De nouvelles intercommunales sont entrées dans le capital : SEDIFIN (Brabant wallon), IDEFIN (Namur), IDEA (Hainaut) et FINIMO (Verviers).

2010

Le Conseil d’administration de SOCOFE a décidé de vendre les 9.764 parts en autocontrôle aux autres actionnaires selon des proportions rencontrant les aspirations des associés. Cela a notamment permis aux nouveaux actionnaires d’accroître leur participation jusque-là symbolique.

2011

TECTEO (rebaptisé NETHYS en 2013) a absorbé l’ALG. Au terme du processus, la part de TECTEO dans SOCOFE est passée à 32,37%. Ensuite, dans le cadre d’une réorganisation du groupe ETHIAS, les 22.513 parts d’ETHIAS S.A. ont été transférées à ETHIAS Droit Commun.

2013

Dans le cadre d’une fusion par absorption, l’IPFH (devenue aujourd'hui CENEO), qui fédère les intérêts des villes et communes du Hainaut dans le domaine de l’énergie, a repris dans son giron 100% des parts de CHF. Ainsi, la participation d’IPFH en SOCOFE est montée à 14,18%.

2014

Le groupe NETHYS a adapté sa structure en trois niveaux : PUBLIFIN (holding liégeois, rebaptisé ENODIA en 2018), FINANPART (holding à vocation régionale), et NETHYS (société opérationnelle). Cette dernière détient depuis lors les parts en SOCOFE.

2019

AIEG a procédé à une opération de scission partielle pour se conformer au décret wallon lui imposant de distinguer les sociétés qui détiennent les parts dans le capital de producteurs, fournisseurs ou intermédiaires et ceux de l’intercommunale gestionnaire de réseaux. Au terme de celle-ci, l’actionnaire qui porte les parts de SOCOFE est TRANS&WALL.

Suite au regroupement de l’actionnariat wallon de PUBLI-T et de PUBLIGAZ, plusieurs IPF wallonnes ont échangé leurs parts dans ces deux holdings contre de nouvelles parts SOCOFE. A cette occasion, deux nouvelles IPF, IEG (Mouscron) et SOFILUX (Province du Luxembourg), sont entrées dans le capital de SOCOFE.

2020

Afin de se conformer au décret wallon des GRD, AIESH est sortie de notre actionnariat. TRANS&WALL a acquis 500 parts des 2.000 parts d’AIESH et les 1.500 parts restantes ont été réparties à due proportion entre les autres actionnaires B.

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